Friday, November 21, 2008

chapitre 5

En ce chapitre on voit le choc psychologique subi par les africains à l’égard de l’arrivée des Blancs. « Ceux qui débarquaient étaient blanc et frénétiques. On n’avait rien connu de semblable. Le fait s’accomplit avant même qu’on prit conscience de ce qui arrivait. » Ils étaient en grave état de choque et par conséquence, sans défense.

Entre le canon et l’école nouvelle, les africains ils étaient complètement vaincus. « Le canon contraint les corps, l’école fascine les âmes. »

Sambo semble d’avoir de la présence étrangement puissante, que personne d’autre ne possède. Il attire l'attention simplement par l'aura qu'il a. « en ce moment même attirait tous les regards par une espèce de rayonnement contenu. /Jean devait constater par la suite qu’il ne levait jamais la main..»

Le Prière de samba est très dramatique est Jean est fasciné. Il est consumé par le Prière. « Rien ne vivait en lui, que cette voix qui parlait au crépuscule une langue que Jean ne Comprenait pas »

Chapitre 4

La Grande Royale garde Samba chez-elle pour une semaine “pour corriger les effets de l’éducation du foyer, dans ce qu’elle pouvait avoir d’excessif ». Pourtant les effets de ce séjour semblent limités… »Mais il n’y éprouvait pas cependant cette plénitude du foyer, qui faisait battre son cœur, par exemple lorsque, sous la redoutable surveillance du maître, il prononçait la Parole. »

À cause de sa séjour, le chef de Diallobe « redoublaient de sévérité » afin de neutraliser un tel effet. Sambo cherche un refuge au cimetière tombeau de la vielle Rella. Ici on peut voir sa fascination profonde de la mort.

L’éternel mystère de la mort l’inquiète. Mais il est réconforté quand il trouve la réponse « le Paradis était bâti avec les parole qu’il récitait, des mêmes lumières brillantes, des mêmes ombres mystérieuses et profondes, de la même féerie, de las même puissance » Ca me rappelle quand j’avais six ans, quand la pensée de la mort m’a détressé beaucoup et ma mère m’a soulagé quand elle me parlait de la vie en Paradis après la mort, mais maintenant je crois que c’est peut -être un soutien mental pour nous aider pendant la vie.

L’autorité de la Grand Royale sur le village est indéniable. « Soudain, le murmure décrut. Un des côtés du carre s’ouvrit et la Grande Royale pénétra dans l’arène « …Quel respect !! Malgré le fait qu’elle déteste l’école nouvelle, elle annonce « qu’il faut envoyer nos enfants cependant »

Thursday, November 20, 2008

Chapitre 3

« Le maitre déclinait…..Par exemple, le maître ne comptait plus sur ses articulations des pieds, qui lui refusaient toute obéissance » Physiquement le pauvre maître est très fragile.


Bizarrement il rit ! Moi je serais complètement de la misère. Mais quand même il est perturbé par sa gaieté. Peut-être pense-il, ce rire n’est-il pas impie? Il n’est pas sûr ….. « Ai-je ri parce que, en vainquant mon corps, j’avais conscience de faire plaisir a mon Seigneur, ou par vanité, tout simplement ? »

En ce qui concerne l’école nouvelle le désarroi du chef est évident en ce chapitre. Il sait s’il ne dit pas aux Diallobé d’aller à l’école nouvelle « leurs demeures tomberont en ruines, leurs enfant mourront ou seront réduits en esclavage » Mais c’est un choix très difficile en même temps : « Peut-on apprendre ceci sans oublier cela, et ce qu’on apprend ceci sans oublier cela, et ce qu’on apprend vaut-il ce qu’on oublie ? »

La Grande Royale veut envoyer Samba à l’école étrangère. Elle croit qu’il n’existe pas un autre choix. « Il faut aller apprendre chez eux l’art de vaincre sans avoir raison. »

« A ces mots, le cœur du maitre se serra étrangement » Pour le maitre, la pensée d’envoyer Samba à cette école l’agite. Il a des remords a l’égard de sa préférence pour Samba. Il implore le pardon à Dieu. Il croit qu’il ne mérite pas le respecte de les gens du Diallobé « Ainsi, ô mon Dieu ! Pardonnez-moi. Et ils me regardent, me veulent pour guide »

Chapitre 2

En ce chapitre, on apprend que Samba Diallo est un chef des disciples et un aristocrate. La jalousie de Demba envers Samba est palpable !! Clairement Demba lui cherche une querelle. I’l est très sarcastique en fin de provoquer Samba. Je crois que sa patience est commendatio, malgré le fait que samba finalement explose et il combat avec lui.

« Sa dureté pour le garçon était a la mesure d’impatience ou il était de le débarrasser enfin de toutes ses infirmités morales, et de faire de lui le chef-d’œuvre de sa longue carrière » à quoi dire mais...Quelle arrogance !

Il y a une description détaillée du Grande Royale. Elle est la sœur année du chef de Diallobé. « On racontait que, plus que son frère, c’est elle que le pays craignait » Sans doute elle est une force avec laquelle elle faut compter !

Plus tard, Samba est commande par le maître d’échanger ses vêtements avec le disciple le plus pauvre. Il le bat « longuement, furieusement ». Il n'y a aucune mention du Demba étant puni, il me semble que Sambo est pris pour victime ici, ce n’est pas juste !!

« Ce fut un chef, votre père, qui me montra, a moi qui traduis le Livre, comme il faut mourir." Ici le maître parle avec la Grande Royale. Il discute la mort exemplaire de son père avec elle.

« Je voudrais transmettre ce bienfait a son petit neveu ». C’est clair qu’il l’admire beaucoup.

« Je pressens qu’ils auront affaire à un monde de vivants ou les valeurs de mort seront batouées et faillies » Ici la Grande Royale mise en doute leur système entier de croyance. Pourtant, Le maître refuse d'accepter ce point de vue.

Wednesday, November 19, 2008

Chapitre 1

“Il tenait l’oreille de Samba Diallo. Ses ongles s’étaient rejoints a travers le cartilage du lobe qu’ils avaient traverse » La violence utilisée ici est grotesque !! La nécessite d’être si brutal est pour moi, incompréhensible. Quand même, je dois admettre que je ne suis pas très religieuse…je suis un catholique effondre ! Alors afin de comprendre les actions de la maître, il est nécessaire d’essayer d’adopter la mentalité d’une personne qui voit la foi comme l’essential. Son violence est simplement une expression de « l’insert qu’il portait au disciple en faute. »

Sans doute, c’est clair que le maître est bien respecte par tout son entourage. « Des maître venant des contrées les plus lointaines le visitaient périodiquement et repartaient édifies »

En ce qui concerne Sambo Diallo « jusqu'à ce qu’il eut achève ses humanités, il n’appartenait plus a sa famille. » Cette idée est complètement étrangère à moi !!!